
56 LA SACRALISATION DU POUVOIR
Kunstblâtter, 42), p. 8, n°
3 ;
T.-M.
SCHMIDT,
« Proserpina-Sarkophag », dans C.
STIEGMANN
et
M.
WEMHOFF
(éd.), 799. Kunst und Kultur der Karolingerzeit. Karl der Grosse und Papst Léo
m in Paderborn. Katalog der Ausstellung Paderborn 1999, Mayence, 1999, t. 2, p. 758-763,
n° x.41. Interprétation: J.
NELSON,
Carolingian RoyalFunerals, op. cit., p. 153 (exaltation du
pouvoir féminin).
50
J.
DOIGNON,
« Le monogramme cruciforme du sarcophage paléochrétien de Metz
représentant le passage de la Mer Rouge », dans Cahiers archéologiques, t. 12, 1962, p. 65-
87
;
J. A.
SCHMOLL
gen.
EISENWERTH,
« Das Grabmal Kaiser Ludwigs des Frommen in Metz »,
dans Aachener Kunstblâtter, t. 45, 1974, p. 75-96; M.
GAILLARD,
L'éphémère promotion,
op.
cit., p.
141-151;
T.-M.
SCHMIDT,
«Fragmente eines Sarkophags», dans C.
STIEGMANN
et M.
WEMHOFF
(éd.), 799. Kunst und Kultur, Katalog, op. cit., t. 2, p. 763-766, n° x.42;
E.
BOSHOF,
Ludwig der Fromme, Darmstadt, 1996, p. 247-250; I.
BARDIÈS,
« Sarcophage de
Louis le Pieux », dans Le chemin des reliques. Témoignages précieux et ordinaires de la vie
religieuse à Metz au Moyen Age, Metz, 2000, p. 23-25. Interprétation
:
J.
NELSON,
Carolingian
Royal Funerals, op. cit., p. 155-157 (identifications de Louis avec Moïse et de Judith, la femme
de Louis, avec Myriam).
51
P. E. SCHRAMM et FI. MUTHERICH,
Denkmale,
op. cit., p. 128, n° 37; E. BERLET, « Der
Sarkophag Ludwigs des Deutschen », dans Beitràge zur Geschichte des Khsters Lorsch,
Lorsch, 2
e
éd., 1980, p. 165-172; W.
HARTMANN,
Ludwig der Deutschen, Darmstadt, 2002,
p.
61-62.
52
B.
DE MONTESQUIOU-FEZENSAC,
« Le tombeau de Charles le Chauve à Saint-Denis »,
dans Bulletin de la Société des Antiquaires de France, 1963, p. 84-88; D.
GABORIT-CHOPIN,
« Baignoire de prophyre », dans Le
Trésor
de Saint-Denis. Catalogue d'exposition, Pans, 1991,
p.
69, n° 6. Commentaire: J.
NELSON,
La mort de Charles le Chauve, op. cit., p. 58 et
EAD.,
Carolingian Royal Funerals, op. cit., p. 161-166.
53
R.
MELZAK,
« Antiquarianism in the Time of Louis the Pious and its Influence on the Art
of Metz », dans P.
GODMAN
et R.
COLLINS
(éd.), Charlemagne's
Heir.
New Perspectives on the
Reign of Louis the Pious (814-840), Oxford, 1990, p. 629-640.
54
J.
NELSON,
Carolingian Royal Funerals, op. cit., p. 155.
55
G.
BROWN,
« Introduction
:
the Carolingian Renaissance », dans R.
MCKITTERICK
(éd.),
Carolingian Culture: Emulation and Innovation, Cambridge, 1994, p. 1-51 ; Y.
HEN
et
M.
INNÉS
(éd.), The Uses ofthe Past in the Early Middle
Ages>
Cambridge, 2000
;
A.
KNAEPEN,
«L'histoire gréco-romaine dans les sources littéraires latines de la première moitié du
DC
siècle
:
quelques conclusions provisoires », dans Revue belge de philologie et d'histoire, t. 79,
2001,
p. 341-372.
56
Le choix d'un sarcophage en tenant compte de son iconographie a dû avoir lieu
indépendamment du fait qu'il soit resté visible ou qu'il ait été enterré.
"
J.NELSON,
Carolingian Royal Funerals, op. cit., notamment
p.
153 et 155-156.
58
A.
DIERKENS,
« Ad instar illius quod Beseleel miro composuit studio. Eginhard et
les idéaux artistiques de la « Renaissance carolingienne » », dans F.
BOUGARD,
R.
LE JAN
et
J.-M.
SANSTERRE
(éd.), L'autorité du passé dans les sociétés médiévales, Paris-Rome, sous
presse.
59
Tout récemment B.
EFFROS,
Caringfor Body and Soûl. Burial and the Afterlife in the
Merovingian
World,
Pennsylvania University, 2002
;
EAD.,
Merovingian Mortuary Archaeology
and the Making ofthe Early Middle Ages, Berkeley-Los Angeles-Londres,
2003.
Voir aussi
supra, n. 2.
60
Grandes Chroniques de France, éd. J.
VIARD,
t. 2, op. cit., p. 258-259: « ensepouturez
fît en
l'église
de Saint-Denis en France. Adenzju couchiez ou
sarcou,
une croix desoz la face et
le chieftornê devers l'Orient ». Sur ce passage, voir A.
DIERKENS,
La tombe et les funérailles de
Pépin le
Bref,
op. cit., p. 44. On pourrait rapprocher ce dépôt
d'une
croix des Goldbîattkreuze
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